mercredi 31 octobre 2012

Um poeta que marca época







Fácil é abraçar, apertar as mãos, beijar de olhos fechados.
Difícil é sentir a energia que é transmitida.
Aquela que toma conta do corpo como uma corrente elétrica quando tocamos a pessoa certa.
Carlos Drummond de Andrade








mardi 30 octobre 2012

ShortKnee art: Grenada National Museum



October 29: The power of theatre has long influenced the artistic dialogue between original observations of contemporary life and its storytelling on painted canvas. Bois Causeur (Wood Talker) is a small exhibition presenting part of my ongoing body of work on the Grenada ShortKnee. Seventeen paintings are currently on view October 29 through December 22, 2012. at the Grenada National Museum, Monckton Street, Saint George’s from They are part of 50 plus works created on plywood construction waste, donated by Grenadian design and construction company, Quinn Company Limited. 




detail of SK Roadblock



The Grenada ShortKnee masquerade (mas) is a symbol of a cohesive cultural identity evolved on this small island in the eastern Caribbean. Troupes of  thirty or more players are each disguised in a West African-influenced restyled French Pierrot costume constructed of several heavily patterned fabrics. Blouses are worn with double length sleeves fastened at the wrists, and double length pants worn gathered at the knees, give the costume its name. Completely concealed from head to toe (hood, mask, tunic, blouse, pants, socks, shoes), each player, during choreographed performances embodies the power of an ancestral spiritual being




detail SK Non-Currency


Immediately following Emancipation, West African Yoruba peoples were brought here as indentured servants in their hundreds, settling exclusively the villages of Rose Hill, Concord and Munich until the early years of the 20th century. The ShortKnee is indigenous to this island, created to celebrate carnival by Grenada’s newly creolised population. Wood Talker is part of Suelin’s ongoing project to move traditional mas elements past the ‘carnival-only’ mentality and into the visual art mainstream. 




Suelin with Jean Pitt and Angus Martin of the GNM


John Angus Martin, author of A to Z of Grenada Heritage, and curator of the Grenada National Museum, said that the Wood Talker exhibit fits in nicely with the surrounding exhibits on Grenada and the Transatlantic Slave Trade and Indentured Africans to Grenada, as it highlights the enduring legacy of African cultural survivals in Grenada. The Grenada National Museum ends 2012, the ‘Year of the ShortKnee’ with this art exhibit, sales of which will help benefit the Museum’s programmes.














Um pintor atrevido... Musica & Cultura




















Hans Werner Henze. 1926 - 2012











Né en 1926, il était l'auteur de quelques-uns des chefs-d'œuvre de l'art lyrique d'après-guerre.

Avec Hans Werner Henze, qui vient de s'éteindre à 86 ans, la scène musicale contemporaine perd un de ses grands créateurs. Sa musique ne fut jamais celle d'un avant-gardiste, et il prit rapidement ses distances vis-à-vis du dodécaphonisme défendu après-guerre par Boulez ou Stockhausen. Épris d'opéra, il restera toujours fidèle à ce genre alors réputé passéiste.
Progressiste en politique et dans sa vie privée, il fut donc plutôt considéré comme conservateur dans son esthétique. S'opposant dès l'adolescence à son père nazi, qui considérait que la place de son fils était dans un camp de concentration du fait de son homosexualité, il fut incorporé dans la Wehrmacht dans les derniers mois de la guerre et y fut conforté dans son pacifisme convaincu.
Henze se prit très tôt de passion pour l'Italie, où il s'installa dès 1953 pour ne plus en bouger, adhérant au Parti communiste italien. Son style musical n'en reste pas moins très allemand, optant pour une orchestration chargée et un lyrisme expressionniste. Si ses dix symphonies, dont on a pu entendre l'intégrale à Paris en 2003 dans le cadre du Festival Présences, sont touffues jusqu'à l'indigeste, ses opéras lui survivront, témoignant d'un sens du théâtre et d'une versatilité stylistique qui le prédestinaient au théâtre.
Boulevard Solitude, adaptation moderne de l'histoire de Manon Lescaut (1952), Le Prince de Hombourg, dont le livret marque le point culminant de son amitié avec la poétesse Ingeborg Bachmann (1960), Élégie pour de jeunes amants (1961), l'ironie mordante du Jeune Lord (1965), la violence tragique des Bassarides (1966), jusqu'au conte humaniste L'Upupa (2003): il n'a jamais cessé d'en composer, ses œuvres étant créées tant au Festival de Salzbourg qu'à Berlin ou Hambourg.
Cervantès, Kleist, Balzac, Kafka, Auden,  Ho Chi Minh  ou Mishima fournirent à cet amoureux de littérature les sujets de ses opéras, dans lesquels il chercha toujours à faire passer une critique sociale, même s'il avait depuis longtemps cessé d'être le provocateur qui avait vu l'annulation de la création de son Radeau de la Méduse en 1968, à cause de la présence d'un portrait de Che Guevara… On lui doit aussi la musique des films L'Honneur perdu de Katharina Blum et Un amour de Swann, de Volker Schlöndorff, et L'Amour à mort, d'Alain Resnais.










lundi 29 octobre 2012

Reportagem na InterTV Planicie. Campos dos Goytacases. RJ-Brasil




G1


Exposição do artista plástico cubano, Francisco Rivero, é exibida em Campos dos Goytacazes














" Conectado ". Uma performance na Exposição "As Mãos"


Celebremos a entrada franca de arte no Espaço Raúl Linhares no IFF Campos-Centro.


Olhos sensíveis se movem em torno às percepções das obras da Exposição "As Mãos". 

O visitante vive a vida lenta de uma experiência estética de múltiplas reflexões.
 
Graças à proposta plástica "Conectado", uma performance com a participação de alunos do ensino médio. Esta proposta é tentar com mais ou menos sucesso fazer um discurso a partir de um ouvido condutor conectado ao outro, a fim de compartilhar o que sentimos. 
Escutar o que apreciamos do outro a partir de uma leitura inventiva e poética da arte. 

 Esta é uma reflexão sobre práticas simbólicas, diferenças e linguagens.















Dispersion de milliers d'œuvres du roi du pop art américain




Andy Warhol





Autoportrait d'Andy Warhol de 1970. 



La Fondation Andy Warhol pour les arts visuels a confié à la maison de vente la dispersion de milliers d'œuvres du roi du pop art américain.


Avec Warhol, Christie's vient de décrocher le jackpot! Le projet est ambitieux. Il augure d'une nouvelle stratégie marketing et commerciale à construire sur les prochaines années. Sous la houlette de Steven Murphy, président de Christie's International, et de son vice-président, Emmanuel de Chaunac, tout le staff de Christie's New York s'agite au Rockefeller Plaza. La vente du lundi 12 novembre marque le coup d'envoi d'un partenariat entre la maison de François Pinault et la Fondation Andy Warhol pour les arts visuels.
Orchestrée par Amy Cappellazzo, en charge du développement de l'art contemporain au niveau mondial, cette vacation de 364 lots n'est que le début d'une vente-fleuve de milliers d'œuvres du roi du pop art américain, allant des peintures aux photographies, en passant par les œuvres sur papier.Ce trésor du futur «Picasso américain», comme le clame la presse américaine, se vendra à la fois aux enchères, en ligne (un site a été spécialement conçu pour le projet) mais aussi de gré à gré, à partir de février 2013. Christie's dit «veiller à ne pas inonder le marché», comme pourraient le craindre certains collectionneurs ou marchands, tel Alberto Mugrabi, dont la famille possède plus de 800 pièces de Warhol qu'elle distille au compte-gouttes.
Les prix annoncés vont de 2 500 dollars à 1,5 million de dollars. Ce qui laisse le marché ouvert à tous les publics.

25e anniversaire

Créée en 1987, soit trois mois après la mort d'Andy Warhol, la fondation célèbre cette année son 25e anniversaire. Elle espère récolter pas moins de 100 millions de dollars pour promouvoir les arts visuels, selon les vœux de Warhol, et effectuer plusieurs donations à différents musées. La conjoncture, qui rend actuellement très difficile la survie de beaucoup d'organisations culturelles, comme l'a souligné son président, Joel Wachs, n'est pas étrangère à cet accord. D'autant que le marché n'a jamais été aussi fort.
Ce n'est pas un hasard si Christie's a emporté cet énorme contrat, qui aura plus de retombées en termes d'images que de chiffre d'affaires. Cette dernière détient le record pour l'artiste avec Green Car Crash (1963), adjugé à 71,72 millions de dollars en mai 2007. Depuis, Christie's a aussi décroché un record pour un autoportrait, en quatre parties (1963-1964), à 38,5 millions de dollars, en mai 2011. Derrière tout cela, il y a de toute évidence des contingences économiques. La Fondation Warhol a revu ses dépenses à la baisse, après la dissolution de son comité d'authentification qui lui a valu d'importants frais d'avocat…















dimanche 28 octobre 2012

Trasparência total


Santa Paz
Frente afrente com uma obra de arte.


O que  Andy Warhol previu .Um anticlimax, no medio de um mar de cabeças quando vi a Mona Lisa o quadro de Leonardo da Vinci.






Foto, Francisco Rivero













vendredi 26 octobre 2012

"Je crois aux énergies". Performance. Exp. "As Mãos"



"Je crois aux énergies"

 Les performances. L’art immatériel est le plus fort car il n’y a aucun obstacle entre le spectateur et l’artiste. C’est juste une question d’énergie. Et je crois aux énergies. »
Exposition " As Mãos " RJ. Brasil



























Minas é saborosamente mágica.



SER MINEIRO - Frei Betto












Como todo mineiro é um pouco filósofo, há um mistério sobre o qual medito há anos: o que é ser mineiro? 
De reflexões e inflexões que extraí sobre a mineirice - muitas delas colhidas de metafísicas inscrições em rótulos de cachaça e quinquilharias de beira de estrada - eis as conclusões a que cheguei:
Mineiro a gente não entende - interpreta.
Ser mineiro é dormir no chão para não cair da cama; usar sapatos de borracha para não dar esmola a cego; tomar café ralo e esconder dinheiro grosso; pedir emprestado para disfarçar a fartura.
É desconfiar até dos próprios pensamentos e não dar adeus para evitar abrir a mão.
Mineiro não é contra nem a favor; antes, pelo contrário. Aliás, mineiro não fala, proseia. Toca em desgraça, doença e morte e vive como quem se julga eterno. Chega na estação antes de colocarem os trilhos, para não perder o trem. E, na hora em embarque, grita para a mulher, que carrega a sua mala: "Corre com os trens que a coisa já chegou!"
Mineiro, quando viaja, leva de tudo, até água para beber. E um coração carregado de saudades.
Relógio de mineiro é enfeite. Pontual para chegar, o mineiro nunca tem hora para sair. A diferença entre o suíço e o mineiro é que o primeiro chega na hora. O mineiro chega antes.
O bom mineiro não laça boi com embira, não dá rasteira em pé de vento, não pisa no escuro, não anda no molhado, só acredita em fumaça quando vê fogo, não estica conversas com estranhos, só arrisca quando tem certeza, e não troca um pássaro na mão por dois voando.
Ser mineiro é sorrir sem mostrar os dentes, ter a esperteza das serpentes e fingir a simplicidade das pombas, fazer de conta que acredita nas autoridades e conspirar contra o governo.
Mineiro foge da luz do sol por suspeitar da própria sombra, vive entre montanhas e sonha com o mar, viaja mundo para comer, do outro lado do planeta, um tutu de feijão com couve picada.
Mineiro sai de Minas sem que Minas saia dele. Fica uma saudade forte, funda, farta e fértil.
Enquanto outros não conseguem, mineiro num dá conta. Nem paquera, espia. Não arruma briga, caça confusão. E mineira não se perfuma, fica cheirosa.
Ser mineiro é venerar o passado como relíquia e falar do futuro como utopia, curtir saudade na cachaça e paixão em serenatas, dormir com um olho fechado e outro aberto, suscitar intrigas com tranqüilidade de espírito, acender vela à santa e, por via das dúvidas, não conjurar o diabo.
Mineiro fala de política como se só ele entendesse do assunto, faz oposição sem granjear inimigos, gera filhos para virar compadre de político.
Ser mineiro é fazer a pergunta já sabendo a resposta, ter orgulho de ser humilde, bancar a raposa e ainda insistir em tomar conta do galinheiro.
Mineiro fica em cima do muro, não por imparcialidade, mas para poder ver melhor os dois lados.
Cabeça-dura, o mineiro tem o coração mole. Acredita mais no fascínio da simpatia que no poder das idéias. Fala manso para quebrar as resistências do adversário.
Mineiro é isso, sô! Come as sílabas para não morrer pela boca. Faz economia de palavras para não gastar saliva. Fala manso para quebrar as resistências do interlocutor. Sonega letras para economizar palavras. De vossa mercê, passa pra vossemecê, vossência, vosmecê, você, ocê, cê e, num demora muito, usará só o acento circunflexo!
Mineiro fala um dialeto que só outro mineiro entende, como aquele sujeito que, à beira do fogão de lenha, ensinava o outro a fazer café. Fervida a água, o aprendiz indagou: "Pó pô pó?" E o outro respondeu: "Pó pô, pô".
Mineiro não fica louco; piora. Por isso, em Minas não se diz que alguém endoidou, mas sim que "se manifestou..."
Ser mineiro é comer goiabada de Ponte Nova, doce de leite de Viçosa, queijo do Serro, requeijão de Teófilo Otoni e lingüiça de Formiga, tudo regado a pinga de Salinas.
É cozinhar em fogão de lenha com panela de pedra sabão.
Mineiro não tem idéias, só lembranças; não raciocina, associa; pão-duro, tem o coração mole; pensa que esposa é parente, filho, empregado e carrega sobrenome como título de nobreza
Ser mineiro é acreditar mais no fascínio da simpatia que no poder das idéias. É navegar em montanhas e saber criar bois, filhos e versos.
Mineiro vai ao teatro, não para ver, mas para ser visto, freqüenta igreja para fingir piedade, ri antes de contar a piada e chora com a desgraça alheia. Adora sala de visitas trancada, na esperança de retorno do rei.
Avarento, não lê o jornal de uma só vez para não gastar as letras, e ainda guarda para o dia seguinte para poder ter notícias. Aliás, mineiro não lê, passa os olhos. Não fala ao telefone, dá recado.
Praia de mineiro é barzinho e, sua sala de visitas, balcão de armazém e cerca de curral. Ali a língua rola solta na conversa mole, como se o tempo fosse eterno. Certo mesmo é que o momento é terno.
Ser mineiro é ajoelhar na igreja para ver melhor as pernas da viúva, frequentar batizado para pedir votos, ir a casamentos para exibir roupa nova.
Mineiro que não reza não se preza. Acende a Deus a vela comprada do diabo. Religioso, na sua crendice há lugar para todos: O Cujo e a mula-sem-cabeça; assombrações e fantasmas; duendes e extra-terrestres.
Mineiro vai a enterro para conferir quem continua vivo. Nunca sabe o que dizer aos parentes do falecido, mas fica horas na fila de cumprimentos para marcar presença. Leva lenço no bolso para o caso de ter de enxugar as lágrimas da família.
Não manda flores porque desconfia que a flora embolsa a grana e não cumpre o trato.
Mineiro só elogia quando o outro virou defunto. E fala mal de vivo convencido de que está fazendo o bem.
Ser mineiro é esbanjar tolerância para mendigar afeto, proferir definições sem se definir, contar casos sem falar de si próprio, fazer perguntas já sabendo as respostas.
Mineiro é capaz de falar horas seguidas sem dizer nada. E cumprimenta com mão mole para escapar do aperto.
Mineiro é feito pedra preciosa: visto sem atenção não revela o valor que tem, pois esconde o jogo para ganhar a partida e acredita que a fruta do vizinho é sempre mais gostosa.
Mineiro age com a esperteza das serpentes mas se veste com a simplicidade das pombas, e encobre as contradições com o manto fictício da cordialidade. Mas conta fora tudo que se passa em casa.
Ser mineiro é fazer cara feia e rir com o coração, andar com guarda-chuva para disfarçar a bengala, fingir que não sabe o que bem conhece, fumar cigarro de palha para espantar mosquitos, mascar fumo para amaciar a dentadura.
Mineiro sabe quantas pernas tem a cobra, escova os dentes do alho, teme rasteira de pé de mesa e, por via das dúvidas, põe água e alpiste para o cuco.
Mineiro é pão-duro, não abre a mão nem pra dar bom dia. Desconfiado, retira o dinheiro do banco, conta e torna a depositar. Vive pobre para morrer rico e pede emprestado para disfarçar a fartura.
Mineiro rico compra carro do ano e manda pôr meia sola em sapato usado. Viaja ao exterior e não dá esmola a pobre. Fica sócio de clube para ter status. E faz filho para virar compadre de político.
Pacífico, mineiro dá um boi para não entrar na briga e a boiada para continuar de fora. Mas, se pisam no calo do mineiro, ele conjura, te esconjura, jurado e juramentado no sangue de Tiradentes.
Mineiro é como angu, só fica no ponto quando se mexe com ele.
Em Minas, o juiz é de fora, o mar é de Espanha, os montes são claros, a flor é viçosa, a ponte é nova, o ouro é preto, é belo o horizonte, o pouso é alegre, as dores são de indaiá e os poços de caldas.
"Minas Gerais é muitas", como disse Guimarães Rosa. É fogão de lenha e comida preparada em panela de pedra sabão; turmalina e esmeralda; tropa de burro e rios indolentes chorando a caminho do mar; sino de igreja e tropeiros mourejando gado sob a tarde incendiada pelo hálito da noite.
Minas é Mantiqueira e serrado, Aleijadinho e Amílcar de Castro, Drummond e Milton Nascimento, pão de queijo e broa de fubá.
Minas é uma mulher de ancas firmes e seios fartos, sensual nas curvas, dócil no trato, barroca no estilo e envolta em brocados, ostentando camafeus.
Minas é saborosamente mágica.
Ave, Minas! Batizada Gerais, és uma terra muito singular.













Cidadão do Mundo.



 " Um mestre é um criador de alma, é preciso reavaliar, reconsiderar sua função na sociedade "

Um universo inteiro quan-do assunto é arte.

Luciana Portinho. 
Folha da Manhã.
Campos dos Goytacases







Em um espaço não maior do que 6x7 metros, ou se-ja, algo como 42 metros quadrados pode conter um universo inteiro quan- do o assunto é arte. Assim é a exposição do artista plástico cubano Francisco Rivero, no Espaço Raul Linhares, no IFF Campus Campos – Centro. O nome da exposição é “As Mãos”. Por elas, Francisco Rivera se expressa e apresenta suas criações em Campos. A exposição que foi instalada no dia 15 de outubro, dia do professor, segue aberta à visitação até o dia nove de novembro, sempre das 10 às 20h.

[...]
Francisco transborda sua curiosidade, segundo ele, 100% artística. Ao tratar daquilo que sempre é indagado a quem cria, ele nos fala de uma inspiração relacionada ao modo mutante que estabelece com o cotidiano. Como a um filósofo grego, se co-loca interrogações constantes, fruto do que ele chama de “uma necessidade imperiosa de ser atento a tudo, de dialogar com o outro ao propor pontes visíveis e invisíveis de comunicação”. [...]

[...]
Dono de uma pintura e de um trabalho, em variadas técnicas de artes visuais, ele se expressa em cores vivas, é notável a presença de suas raízes caribenhas. Seja na gravura, serigrafia, pintura e até nas instalações e performances, o artista brinca ao interagir com o público e com os mais diferentes materiais, como na presente exposição ao trazer a pipa. “Sou maravilhado com as pipas, é um trabalho manual que se perde. Elas traduzem o desejo do homem de voar, de se projetar, é um delicado luxo”, frisa ele.[...]


















jeudi 25 octobre 2012

Veja : Pablo Fernandez canta-autor em a Provincia de Buenos Aires. Argentina




http://www.youtube.com/watch?v=kCcHyApkPlc&list=PL38303B27F67E6938&index=2&feature=plcp

Artistas invitados: Leandro Frigoli, Noelia Di Laura, Juan Zabala

"Canciones del sur producciones"

www.pablofernandezweb.com.ar
Canción de Autor - Trova Argentina
Pablo Fernández
Se anda diciendo
2012

Pablo Fernández en Concierto
Trovador Argentino, nacido en la ciudad de Buenos aires que pertenece a una nueva generación de cancionistas y compositores latinoamericanos participes y concientes de la era que les toca. Las canciones de sus siete discos están nutridas de las poéticas, sonoridades y paisajes que anualmente recorre y ha recorrido por los rincones del continente.
En los últimos años dio conciertos en todos los países de Sudamérica creando un largo circuito de conciertos e integración de las artes por las ciudades del continente.








Art protéiforme ! ?.






Exposition " As mãos " de Francisco Rivero. RJ - Brasil



On parle beaucoup d'art protéiforme.

L´art protéiforme n'est pas nouvelle. Observez l'œuvre de Francisco Rivero. Il a toujours travaillé sur différents supports. Désormais, grâce aux facilités qu'offre la technologie, les artistes, curieux par essence, surfent spontanément sur plusieurs médiums. Aujourd'hui, l'exception est celui qui n'est «que» peintre, sculpteur ou vidéaste...









“Fidel Castro está agonizando”,







Havana, 22 out (Prensa Latina) O líder da Revolução cubana, Fidel Castro, afirmou hoje que ainda que muitas pessoas no mundo são enganadas por órgãos de informação, quase todos em mãos de privilegiados e ricos que publicam estupidezes, os povos acreditam cada vez menos nessas mentiras.


“Bastou uma mensagem aos formandos do primeiro curso do Instituto de Ciências Médicas ‘Vitória de Girón’, para que começasse o alvoroço no galinheiro da propaganda imperialista e as agências dessem seguimento à mentira de maneira voraz”, denuncia o líder cubano em um comentário titulado “Fidel Castro está agonizando”, que publica a página digital CubaDebate.

No texto, Fidel Castro afirma também que essas agências “em seus despachos atribuíram aos pacientes as mais insólitas idiotices”.

Do mesmo modo, agrega o líder cubano, o jornal ABC da Espanha publicou que um médico venezuelano, “que reside não se sabe onde”, revelou que ele tinha sofrido uma embolia massiva na artéria cerebral direita.

“Posso dizer que não vamos voltar a vê-lo publicamente”, indica o líder da Revolução cubana.

Em seu comentário, Fidel Castro assegura que “ninguém gosta de ser enganado; até o mais incorrigível mentiroso, espera que lhe digam a verdade”.

Como exemplo mencionou que “todo mundo acreditou, em abril de 1961, as notícias publicadas pelas agências a respeito dos invasores mercenários de Girón ou Baía dos Porcos, como quiserem chamar, que estavam chegando a Havana, quando em realidade algumas delas tentavam infrutiferamente chegar em botes aos navios de guerra yankis que as escoltavam”.

Para o líder cubano, “os povos aprendem e a resistência cresce frente às crises do capitalismo que se repetem cada vez com maior frequência; nenhuma mentira, repressão ou novas armas, poderão impedir a derrubada de um sistema de produção crescentemente desigual e injusto”.

Em outra parte de seu comentário, Fidel Castro faz referência à Crise de Outubro e como as agências apontaram a três culpados: “Kennedy, recém chegado à direção do império, Jruschov e Castro. Cuba não teve nada a ver com a arma nuclear, nem com a matança desnecessária em Hiroshima e Nagasaki perpetrada pelo presidente dos Estados Unidos Harry S. Truman, estabelecendo a tirania das armas nucleares. Cuba defendia seu direito à independência e à justiça social”, enfatiza o líder revolucionário.

Acrescenta que “quando aceitamos a ajuda soviética em armas, petróleo, alimentos e outros recursos, foi para nos defender dos planos yankis de invadir nossa Pátria, submetida a uma suja e sangrenta guerra que esse país capitalista nos impôs desde os primeiros meses, e custou milhares de vidas e mutilados cubanos”.

Fidel Castro explica que “quando Jruschov nos propôs instalar armas de alcance médio similares às que os Estados Unidos tinha na Turquia “mais perto ainda da URSS que Cuba dos Estados Unidos”, como uma necessidade solidária, Cuba não vacilou em aceder a tal risco”.

Ratifica que “nossa conduta foi eticamente inquestionável. Nunca pediremos desculpa a ninguém pelo que fizemos. A verdade é que já passou meio século, e ainda estamos aqui com a cabeça erguida”.

Em parágrafos finais de seu comentário, o líder cubano reconhece que gosta “de escrever e escrevo; gosto de estudar e estudo. Há muitas tarefas na área dos conhecimentos. Nunca as ciências, por exemplo, avançaram a tão espantosa velocidade”.

Fidel Castro explica que deixou de publicar Reflexões porque “certamente não é meu papel ocupar as páginas de nossa imprensa, consagrada a outras tarefas que requer o país”.

“Ai! Mania de prever desgraça! Não lembro nem sequer o que é uma dor de cabeça. Como prova do quanto são mentirosos, lhes peço as fotos que acompanham este artigo”, sentença.












mercredi 24 octobre 2012

Oui, Oui ! SIM, SIM ! IMPRESSIONISMO : RIO 30°


 IMPRESSIONISMO : PARIS E A MODERNIDADE
23 de outobro a 13 de janeiro

A exposição traz pela primeira vez ao país e ao Rio de Janeiro uma seleção de 85 obras-primas do acervo do Museu d`Orsay de Paris,dedicado à arte do século XIX e detentor da mais importante coleção de impresionistas.

A mostra reflete a história da pintura ocidental no período que compreende a segunda metade do século XIX e início do século XX e é dividida em seis módulos – “Paris: a cidade moderna”, “A Vida Urbana e Seus Autores” e “Paris É Uma Festa”, “Fugir da Cidade”, “Convite à Viagem” e “A Vida Silenciosa”, com obras de Camille Pissaro, Claude Monet, Edgar Degas, Edouard Manet, Gustave Coubert, Carot, Henri Toulosse-Lautrec, Jules Lefebvre, Paul Cézanne, Paul Gauguin, Pierre-Auguste Renoir e Vincent Van Gogh, entre outros mestres.





Os famosos Girassóis de Vincent Van Gogh retomam suas cores graças à espiritualidade do Rio. Oui, Oui... ( Sim, Sim...) o IMPRESSIONISMO está aqui !






O Tocador de Pífano, de Edouard Manet,

Retratar temas cotidianos que podemos compreender imediatamente :
Uma fila impressionante com uma temperatura de 30° em uma quarta-feira isso é IMPRESSIONISMO CARIOCA


Foto, Francisco Rivero











lundi 22 octobre 2012

" SER " Installations. Francisco Rivero

 
 
 

Ser capaz de apreender o outro na plenitude da sua dignidade, dos seus direitos e, sobretudo, da sua diferença







 
Fotos, Francisco Rivero






"Se não faço, outro leva vantagem em meu lugar".

 
 
 

O CORRUPTO - Frei Betto

 
 
 
 

 
 
Padre Vieira, em São Luís do Maranhão, no sermão em homenagem à festa de santo Antônio, em 1654, indagava: "O efeito do sal é impedir a corrupção, mas quando a terra se vê tão corrupta como está a nossa, havendo tantos nela que têm ofício de sal, qual será, ou qual pode ser a causa desta corrupção?" A seu ver, havia duas causas principais: a contradição de quem deveria salgar e a incredulidade do povo diante de tantos atos que não correspondiam às palavras.

O corrupto caracteriza-se por não se admitir como tal. Esperto, age movido pela ambição de dinheiro. Não é propriamente um ladrão. Antes, trata-se de um requintado chantagista, desses de conversa frouxa, sorriso amável, salamaleques gentis.
O corrupto não se expõe; extorque. Considera a comissão um direito; a porcentagem, pagamento por seus serviços; o desvio, forma de apropriar-se do que lhe pertence. Bobos são aqueles que fazem tráfico de influência sem tirar proveito.
Há muitos tipos de corruptos. O corrupto oficial é aquele que se vale de uma função público para tirar proveitos a si, à família e aos amigos. Troca a placa do carro, embarca a mulher com passagem cuesteada pelo erário, faz gastos e obriga o contribuinte a pagar. Considera natural o superfaturamento, a ausência de licitação, a concorrência com cartas marcadas.
A lógica do corrupto é corrupta: "Se não faço, outro leva vantagem em meu lugar". Seu único temor é ser apanhado em flagrante delito. Não se envergonha de se olhar no espelho, apenas teme ver seu nome estampado nos jornais. Confiante, jamais imagina a filha pequena a indagar-lhe: "Papai, é verdade que você é corrupto?"
O corrupto não sente nenhum escrúpulo em receber caixas de uísque no Natal, presentes caros de fornecedores ou andar de carona em jatinhos de empresários. Afrouxam-lhe com agrados e, assim, ele afrouxa a burocracia que retém as verbas públicas.
Há o corrupto privado. Nunca menciona quantias, tão-somente insinua, cauteloso, como se convencido de que cada uma de sua palavras estão sendo registradas por um gravador. Assim, ele se torna o rei da metáfora. Nunca é direto. Fala em circunlóquios, seguro de que o interlocutor saberá ler nas entrelinhas.
O corrupto franciscano pratica o toma lá, dá cá. Seu lema é "quem não chora, não mama". Não ostenta riquezas, não viaja ao exterior, faz-se de pobretão para melhor encobrir a maracutaia. É o primeiro a indignar-se quando o assunto é a corrupção que grassa pelo país.
O corrupto exibido gasta o que não ganha, constrói mansões, enche o latifúndio de bois, convencido de que puxa-saquismo é amizade e sorriso cúmplice, cegueira. Vangloria-se em sua astúcia em enganar a esposa e mentir aos colegas.
O corrupto nostálgico orgulha-se do pai ferroviário, da mãe professora, de sua origem humilde na roça, mas está intimamente convencido de que, tivessem as mesmas oportunidades de meter a mão na cumbuca, seus antepassados não deixariam passar.
O corrupto não sorri, agrada; não cumprimenta, estende a mão; não elogia, incensa; não possui valores, apenas saldo bancário. Se tal modo se corrompe que nem mais percebe que é um corrupto. Julga-se um negocista bem sucedido.
Melífluo, o corrupto é cheio de dedos, encosta-se nos honestos para se lhe aproveitar a sombra, trata os subalternos com uma dureza que o faz parecer o mais íntegro dos seres humanos. Aliás, o corrupto acredita piamente que todos o consideram de uma lisura capaz de causar inveja em madre Teresa de Calcutá.
O corrupto julga-se dotado de uma inteligência que o livra do mundo dos ingênuos e torna mais arguto e esperto do que o comum dos mortais.
 
 
 

 
Fotos, Francisco Rivero









Cuba´s Migration Policy Updated

 
 
 
 
 
 



Amendments will come into force on January 14th, 2013. In PDF, Migration Law.
As part of the work undertaken to update the current migration policy adjusting it to prevailing conditions in the present and the foreseeable future, the Cuban government has decided to forgo the required Travel Permit as well as the Letter of Invitation.
Therefore, as from January 14th, 2013, it will only be necessary to submit the ordinary passport, duly updated, and the visa issued by the country of destination, in those cases when it is required. The ordinary passport will be issued to the Cuban citizens who meet the requirements of the Migration Law, as modified in compliance with these provisions. Such Law will come into effect ninety days after its publication in the Official Gazette of the Republic of Cuba.
Those already in possession of an ordinary passport, issued before this decision is valid, should request from the corresponding authorities of the Ministry of the Interior its updating absolutely free of charge. Likewise, those with a valid Travel Permit will be able to depart without any additional procedure.
It has also been decided that Cuban residents travelling overseas on private affairs will be permitted to remain there for a period of twenty-four months, counting from the date of departure. For a longer stay, they will be required to obtain the corresponding evidence of extension of stay from a Cuban consulate.
The updating of the migration policy takes into account the right of the revolutionary state to defend itself from the aggressive and subversive plans of the US government and its allies. For this reason, those measures aimed at preserving the human capital created by the Revolution from the theft of talents practiced by the powerful nations shall remain in force.
In due course, other measures related to the migratory issue will be adopted that will certainly help in the consolidation of the efforts being made by the Revolution towards the full normalization of Cuba’s relations with its emigrants.
Today, the Official Gazette of the Republic of Cuba is publishing the Law Decree of the State Council modifying the current Migration Law as well as other supplementary regulations.
Additional information on the procedures required by the law and other specificities concerning the country’s migration policy are available to the people at the Dirección de Inmigración y Extranjería and its voice message through phone number 2063218; Portal del Ciudadano Cubano: www.ciudadano.cu; and the Ministry of Foreign Affairs of Cuba: www.cubaminrex.cu.