samedi 26 octobre 2013

Fiac 2013 à Paris. Loin des yeux...

... loin du cut cœur
 Expression de un Parioca. 
Rio de Janeiro - Brasil



La Foire internationale d'art contemporain se tient jusqu'à dimanche au Grand Palais, à Paris. 
Défrichage.

La Fiac n’est pas une biennale ou une exposition, c’est un marché. 
La Fiac fait-elle sa crise de la quarantaine ?
Tableau immense = plein de pognon. 
Anniversaire oblige ( la première Fiac fut inagurée en 1973 ), c'est la question que tout  le monde se pose. Non seulement l’art à la Fiac, c’est pour les riches, mais en plus c’est pour les beaux. 
Questions que vous n'osiez pas poser sur la Fiac 2013. 
Faut-il être millionnaire pour aller à la Fiac ? 
Pourquoi les oeuvres sont-elles de plus en plus grandes ? 

Malgré tous les ronchons, la Fiac reste un moyen facile de se gaver d’art pendant quatre jours. Cette année, le rez-de-chaussée est carrément patrimonial (à l’exception, entre autres, de Marian Goodman ou de Chantal Crousel). Avalanche de modernes (1910-1960) au sein de laquelle on révise ses classiques, c’est aussi bien qu’un musée. Dans le domaine contemporain (1960 et après), les têtes d’affiche se bousculent: Robert Longo (dont se vend entre autres un tableau représentant une manif pour l’éducation et contre la finance), Bill Viola, Anish Kapoor, Jean-Michel Basquiat, Ugo Rondinone, Luc Tuymans, Lee Ufan, Jean-Marc Bustamante, Ryan Trecartin, Laurent Grasso, etc. 

La Fiac, c'est gros
Un gros prix d'entrée ( 35 euros )

























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